Diario de renard_frak

La flore détruite dans ce secteur : 

Grand pic (Dryocopus pileatus) et pic chevelu (Dryobates villosus). Bois-des-Pères (partie privée), Montréal, 20 avril 2024.

J’espère que l'on aura compris que je ne fais pas l’éloge des Galeries d’Anjou et du système de consommation à outrance. C’est plutôt le contraire. Le fait de mettre à l’avant-scène les Galeries d’Anjou est une attrape, une aguiche. Le discours est en fait alarmiste. On fait n’importe quoi et on ne se réveille pas ! L’espèce humaine n’apprend pas de ses erreurs. Et ce n’est même pas un discours sur le réchauffement climatique. Juste le fait qu’il y a d’énormes pertes de grande masse de végétaux et de faunes en ville, juste ça, c’est dégueulasse ! Et ça ne s’arrête pas !

Voici la carte : https://bit.ly/3w3K20J 🗺 Avec la participation de Roland Tremblay, Claude Lamarre, Diane Audet, Charly Jig Giguère, John Trivisonno et Michel Branchaud. 😍

N’oubliez pas le guide, cela va m’aider à poursuivre la création de ces capsules historiques. 😃👍
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Musique :
Dj Quads - A Bouquet Of Roses https://youtu.be/67ZMhNkAAGw?si=7T8UOlPv8w9nogA

On s’aventure dans la forêt de sapins et de bouleaux d’il y a 9000 ans, en passant par le pharaon Toutankhamon, en terminant par les vieux boisés qui persistent près du Stade olympique de Montréal !

Passage rapide d’un corbeau, à la lisière du parc-nature du Bois-d’Anjou, du côté golf… 7 avril 2024, 16:21 h…

D’après vous, c’est le chant de quelle grenouille ? Je penche pour la grenouille des bois (Lithobates sylvaticus), et vous ? Enregistré le 31 mars 2024, vers 13:45 h, près d’un étang en plein soleil au parc-nature du Bois-d’Anjou, Montréal.

Je vous raconte le récit de Lahontan, extrait de ce livre.

C’est un titre putaclic ? Pas tant que ça, vous allez voir ! Je vous conseille vivement l’édition préparée par Réal Ouellet de Mémoires de l’Amérique septentrionale !

Il y a environ 9000 ans, les peuples autochtones de la grande région de Mexico se nourrissaient de la tige très sucrée d’une plante, la téosinte. Elle avait un tout petit épi immangeable. Grâce au hasard des mutations, car les plantes, ça mute ! Ça se dit ça ? La téosinte deviendra le maïs que l’on connait aujourd’hui. On en mange maintenant l’épi, qui est vraiment plus gros, et non plus la tige.